Arrêter de se plaindre

arrêter de se plaindre

Arrêter de se plaindre

Arrêter de se plaindre tout le temps : les conseils pour cesser de râler. Sauver vos relations de couple, de travail, et plus de positivisme ! Mais pourquoi ne parvient-on pas toujours à voir la vie du bon côté ? Il n’est pas toujours facile de relativiser. Mais relativiser, c’est encore comparer ou juger… Mauvaise piste. La bonne, elle se trouve où alors ?


Comment arrêter de se plaindre, cesser de râler pour de bon ?

Se plaindre, qu’est ce que cela veut dire?

« C’est pas vrai », « pas encore lui », « c’est encore sur moi que ça tombe, « les gens, ils… », les rooohh, les pfff, les oh la la… On n’en pleut plus ! Honnêtement, vous avez envie de rester en compagnie de quelqu’un qui se plaint tout le temps de tout et de rien? De la pluie et du beau temps? Des autres qui sont comme ci ou comme ça? C’est vrai que ce n’est pas agréable au quotidien. Mais avant de vouloir jeter votre femme, mari, enfants, ou votre voiture qui ne démarre pas par la fenêtre, une pause s’impose !

En principe, se plaindre ou râler, c’est lorsqu’une personne pestifère contre des causes extérieures d’un événement. Ou encore, juge les comportements d’autrui comme inadaptés ou éreintant par rapport à ses standards idéaux. Une forme d’intolérance pour ce qui est, en gros, et une insatisfaction permanente. En résumé… un bon paquet de frustrations accumulées. Et ce, probablement depuis un certain nombre d’années.

Mais qu’est ce que cela cache-t-il donc ? Car il n’y a pas de mauvaise personne, ou de « mauvais tempérament ». L’être humain n’a pas de bonne ou de mauvaise nature. Nos attitudes ne nous définissent pas et heureusement. Derrière chaque comportement, il y a une raison. Et souvent, des souffrances et des besoins.

Ce qui se cache derrière le fait de se plaindre

Avant toute chose, évitons les jugements hâtifs. En effet, si une personne ne fait que se plaindre, c’est avant tout qu’elle est malheureuse. Et il est fort probable que cette dernière ait des besoins, importants pour elle, qui ne soient pas comblés. J’ajouterais qu’il est bien possible qu’en réalité, elle ait du mal à identifier ses besoins, les communiquer, afin de pouvoir se donner une chance de les satisfaire.

Comme j’expliquais dans mon article, exprimer, communiquer ses besoins non violemment est primordial pour des relations écologiques et harmonieuses. Mais selon le contexte dans lequel on a grandi, ce n’est pas quelque chose d’évident pour tous. Chez certains, il n’y a jamais eu la place pour l’expression de soi. Notamment dans les familles autoritaires et strictes. Ou dans certaines cultures, ou les enfants ont bien peu leur mot à dire.

Se plaindre, propre à certaines cultures plus qu’à d’autre ?

Observation

Ou pourrait bien en déduire que oui. C’est assez flagrant lorsqu’on voyage beaucoup, on remarque que les comportements varient beaucoup d’un pays à l’autre. Dans certains endroits du monde, il n’y a soit pas le temps ni la place pour se plaindre. Ou bien encore, l’harmonie de l’ensemble prime sur l’individu et ses ressentis.

Au Japon

C’est par exemple le cas au Japon. La conscience de l’harmonie du collectif, de l’espace y compris son lieu de vie, de l’énergie d’un environnement est très importante. Chacun veille toujours à ne pas bousculer l’autre, à respecter les espaces communs. Car l’attitude d’un individu affecte forcément le groupe et son bon fonctionnement. C’est assez ancré dans la culture et l’éducation.

L’influence du bouddhisme

Et je ne pense pas me tromper en mentionnant la forte influence du bouddhisme. Car lorsque l’on est dans cette démarche de respect du vivant dans son ensemble, cela coule de source de respecter autrui. Et ce, pour le bien-être de tous. Et lorsque quelque chose se produit de non désiré, on a la merveilleuse expression « shoganai », à entendre dans le sens « qu’est-ce que j’y peux ».

En France

Dans d’autres pays, comme en France, se plaindre à la maison, des voisins, et râler au travail est malheureusement courant. On remarque d’ailleurs que la gestion de l’espace est complètement différent. L’individu tend à primer sur le groupe. Bien sûr, il ne s’agit pas ici de comparer, là n’est pas la question. C’est simplement pour noter que souvent, les comportements humains sont reliés à plusieurs facteurs. Que ce soit l’éducation, les traditions et habitudes cultures, ou encore les philosophies de vie. Qu’elles soient, ou non, reliées à des pratiques religieuses.

-> ENVIE DE PLUS D’HARMONIE DANS TA VIE ?

Découvres nos 12 méditations sonores. Libères tes émotions, et reprogramme ton mental pour une nouvelle attitude positive !


Comment arrêter de se plaindre ?

Conseil 1. Accepter ce qui est

Il y a des choses sur lesquelles nous avons un pouvoir d’action, et d’autres non. C’est ainsi. L’humain aime tout contrôler, et pourtant il y a des lois qu’il ne peut maîtriser dans l’univers. L’important est d’apprendre. Concentrez vous sur l’observation des choses. Du monde, de la nature, de vos sens, vos pensées, vos émotions, votre mental.

Se connaître est une clée pour avancer vers l’acceptation et la résilience. Et ainsi, favoriser les attitudes et pensées positives. Idéalement, il s’agit d’aller vers la réductions des pensées… Apprendre la méditation peut grandement t’y aider si tu a du mal à accepter ce qui est, et apaiser ton mental qui tourne sans cesse.

Conseil 2. Pratiquer la gratitude

C’est si simple et pourtant… Simplement dire merci fait tellement de bien ! Non seulement à l’autre, mais aussi à soi-même. Si vous ne savez pas comment faire, je vous invite à lire cet article « comment pratiquer la gratitude« .

C’est un exercice, un habitude à prendre. Comme toute habilité, cela s’apprend. Et pour allez plus loin, je vous invite à apprendre le Reiki Usui dont est des 5 principes est « juste aujourd’hui, je suis en gratitude ». Je vous invite à lire mon article pour découvrir « qu’est-ce que le Reiki Usui Ryoho« , dans sa forme originelle.

Conseil 3. Célébrer chaque réussite

Bravo, chaque mini victoire compte ! Personne d’autre que vous ne peux vous récompenser pour ce que vous avez accompli. N’attendez plus que ce soit les autres qui le fassent… vous être le mieux placé pour le faire.

Si c’est trop difficile, c’est qu’il y a travailler sur les blessures d’enfances. Souvent, il y a à combler le manque de reconnaissance en soit. Mais bien sûr, il faut tout analyser avant de tirer des conclusions. En kinésiologie, cela se travaille très bien.

Conseil 4. Écouter vos besoins, les exprimez, les satisfaire sainement.

Le plus vous être à l’écoute de vous-même et de vos besoins, le mieux vous serez responsable de ces derniers. Contrairement à ce qu’on peut penser, il est de savoir répondre à ses besoins. C’est ce que je nomme « de l’égoïsme positif », démontrant que vous vous connaissez bien.

De plus cela réduit les « attentes » qui sont généralement non bénéfiques dans la relation de couple notamment. Ainsi, communiquer ses besoins permet d’être plus clair vis à vis de vous-même et des autres. C’est donc plus « sécuritaire » de connecter avec vous affectivement pour l’autre.

Conseil 5. Ne jamais réprimer une émotion, ou avancer avec une résistance

Non seulement c’est improductif, mais à la longue vous pouvez développer de sérieux soucis de santé. Les émotions, lorsque non exprimées, se cristallisent dans le corps et affectent le bon fonctionnement de nos organes. Bien sûr, je résume et raccourci, car c’est un procédé un peu plus complexe que cela.

Si la gestion des émotions est une difficulté pour toi, ou que tu as du mal à t’exprimer, sache que l’art thérapie et particulièrement la danse thérapie peut t’y aider. En plus d’être pour tout âge et tout genre, c’est très agréable et permet de découvrir ses talents. Et pour le milieu professionnel, comme dans la vie de tous les jours, c’est la clé du succès ! On n’avance jamais avec une résistance. Je t’invite à lire cet article sûr comment exprimer ta créativité.

Conseil 5. Oser prendre des décisions bénéfiques pour toi

Même si elles semblent à contre-courant de la société, des attentes de la famille… Cela vous évitera bien des frustrations à l’avenir ! Car les frustrations, ça fait râler ou mène à la colère. La colère peut affecter le Foie, qui a un lien avec le pouvoir décisionnaire, selon le regard de la médecine chinoise. Et lorsqu’on ne sait pas clairement où va, la tête et le corps manque d’alignement… gare aux entorses! Cela te met aussi en soucis pour rien, et ta rate comme ton pancréas, ils n’aiment pas bien les soucis.

Pour un rééquilibrage de tes organes, pense à faire un bilan énergétique chinois de temps en temps. Un massage shiatsu ou un équilibrage en kinésiologie touch for health permet de rétablir le bon fonctionnement de tous tes organes. Si le lien entre les organes et les émotions t’intéresse tu peux lire cet article sur le printemps en médecine chinoise où je parle notamment de l’impatience et de la colère. Et pour les soucis, il y a aussi des exercices sur le sujet en formation Reiki Usui. Avec une méditation très efficace, et un exercice à faire et refaire autant que nécessaire !

Conseil 6. La méthode de la boîte

Tu connais la super méthode pour cesser de faire quelque chose… comme râler ? 

  • Trouves une boîte vide.
  • À chaque fois que tu te plains, 5 centimes dans une boîte…
  • Et tu compte ce soir !

 Cette méthode marche pour tout, c’est magique !

Et si ça marche toujours pas ? Prend rendez-vous pour une séance de thérapie psychocorporelle en présentiel ou en ligne, on va trouver ensemble ce qui ne te satisfait pas dans ta vie… et que tu peux changer!


Aides un ami, partages cet article sur les réseaux sociaux !

Des questions ? Poses les dans l’espace commentaire ou écris-nous.

On est ravie d’entendre ce qui a marché pour toi, ou non : partage avec nous 🙂


Arrêter de se plaindre

Laisser un commentaire

Retour en haut
Partagez
Tweetez
Enregistrer